mercredi 20 décembre 2017

Je suis un arbre de Noël

On a mis du temps mais ca y est l'arbre de Noël est mis. Les enfants sont heureux. Épuisés aussi, ils se languissent des vacances. Leur papa aussi, même si la pause de Noël sera courte.


C'est une belle fête Noël. Chretienne oui aussi. En Provence les crèches et ces traditions sont merveilleuses. C'es dommage comment cette belle fête devient un débat politique a cause certains qui pour s'attirer les bonnes graces de communautés religieuses sectaires veulent effacer notre histoire et notre héritage. Voir Avignon et sa maire socialiste tendance Hidalgo vouloir effacer l'histoire chretienne de cette ville qui a abrité les Papes pendant un siècle en par exemple supprimant les fêtes de Noël est délirant. Et écœurant. 



C'est chouette Noël. Et on peut le fêter en celebrant la république (la vraie, pas celle de Melenchon et sa secte) et les valeurs chretiennes et son héritage. Et c'est très bien comme ça.



Et les enfants sont heureux 

lundi 18 décembre 2017

Connerie inclusive

Merci à mon ami Nicolas qui m'a envoyé cette bêtise...


Enfin, en parlant de cette connerie d'écriture inclusive, même au sein de la "vraie droite" on s'adonne à cette mode délirante. L'élection interne des Républicains a été un grand moment d'écriture inclusive. La page pour voter Wauquiez annonçait en grande pompe : "Voici la liste des candidat-e-s à la présidence de 'Les Républicains".

Avec cette vraie droite qui est de retour pas de doutes, la France est sauvée !

dimanche 17 décembre 2017

France rance et insoumise

Les déclarations de la bande à Mélenchon la semaine dernière suite à l'immense et bel hommage du peuple et du pays à Johnny Hallyday étaient rances et misérables. 
D'un côté, une France pleine d'amour et de compassion, qui avait envie de célébrer Johnny Hallyday. Une France belle, unie, triste mais fraternelle. De l'autre, une France Insoumise mesquine et recroquevillée sur elle même, dans sa jalousie et sa haine de tout. Avec l'envie de polémiquer sur tout et sur rien. Notamment sur ce rassemblement dans ce beau lieu de la chrétienté qu'est l'église de Marie Madeleine. 

Aujourd'hui, autre polémique. Le président Macron fête ses 40 ans. Avec Falconette, on a fait pareil. Et on continuera, en allant passer quelques jours en Janvier dans des lieux évoquant l'histoire de France. Nouvelle polémique cette fois sur le lieu du weekend, avec Chambord. 
Mélenchon se veut tellement républicain qu'il est exaspéré par tout ce qui touche à un autre pan de l'histoire de France. Hier les églises, aujourd'hui les lieux qui rappellent la royauté.
Il est lamentable. Autant qu'il est effrayant lorsque l'on se souvient de l'histoire du XXeme siècle...

Je pensais à quand j'étais allé au fin fond de la Russie en 2012. Dimitrovgrad. Lors de la visite de la ville, j'avais posé une question à la guide : "mais pourquoi ne voit on pas d'églises". Et elle de me répondre avec un voile de tristesse dans le regard : "mais après 1917, les communistes les ont toutes brûlé les églises...".
Hier Robespierre allait profaner la tombe des rois de France pour jeter leurs ossements dans des fosses communes. Plus tard, les soviétiques brûlaient les églises. Est ce ça que l'on veut ?
Heureusement, les résultats électoraux montrent que les français ne sont pas dupes. Et de la même manière qu'ils ont rejeté la famille Le Pen à de nombreuses reprises, ils font de mêmes avec ses insoumis bien dangereux. 

Enfin, il faut revenir sur le "je me sens tellement républicain de Mélenchon". Il faudra rappeler ses campagnes électorales basées sur des haines et stigmatisations sélectives. Il faudra rappeler son racisme sélectif, lui qui ne sent pas très bien quand il y a trop de blonds aux yeux bleus. Sans parler de ces récents dérapages. Comparer Macron et Juppé aux nazis ou hurler que Cazeneuve et Merkel sont de pires dictateurs que le bon guide Maduro, tout en minimisant et en soutenant le révisionnisme ou la complaisance de certains de ses amis politiques qui trouvent que le radicalisme islamisme n'est qu'un "détail". Et ne parlons pas de ses dernières déclarations pleins de sous-entendus nauséabonds sur l'excellente journaliste Léa Salamé.

La République de Jean-Luc Mélenchon n'est pas la République. C'est un autre truc. Mais ce qu'avaient fait la bande à Staline, Castro ou Chavez, ce n'est pas la République au sens où je l'entend non plus. Ceux sont d'autres trucs, mais que l'on est en droit de combattre. 
Et qui peuvent faire froid dans le dos, et Mélenchon et sa bande font vraiment froid dans le dos...

samedi 16 décembre 2017

40 ans et minions

J'ai fêté mes 40 ans chez moi y a deux mois. Falconette avait fait la surprise de m'inviter quelques amis locaux c'était sympa. On a bu. Johnny était toujours vivant. C'était bien.

J'avais mon bébé qui soufflait une bougie qui ne s'éteindra jamais. Ou j'espère le plus tard possible, je veux accompagner mes fils le plus loin possible. 

Et n'être pas trop loin de Falconette. Et d'autres gens qui peut être m'aiment bien aussi...

Mon bébé Faucon m'a fasciné ce matin. J'ai toujours été piche en dessin. Et en art d'une manière générale. Et joliment, mon bébé me fait un Minion du haut de ces 6 ans, et plutôt joli en plus !

Je souhaite à Macron d'avoir autour de lui autant d'amour que j'ai eu pour les 40 ans, deux moins avant les siens. Je ferai une bringue peut être (Falconette les a eu le lendemain de la mort de Johnny ses 40 ans). Elle sera bien aussi. 
Sur le côté humain, je ne souhaite que du bonheur à l'homme Macron. Et je trouve que cette gauche qui a décidé de tout misé sur l'Indescent et le laid pour s'opposer est à l'image de son dirigeant et de ses militants. A l'image de ce qu'ils ont montré pour jouer une musique puante lors du merveilleux hommage républicain, humaniste et chretien au grand Johnny Hallyday, ils sont ridicules et n'ont plus de crédibilités : la méchanceté et la haine rance ne convainc personne...

Joyeux anniversaire Manu. Joyeux anniversaire Falconette. Et merci les bébés et ceux qui m'aiment pour  leur affection.

vendredi 15 décembre 2017

Carte postale d'Oingt en Beaujolais

Ça fait longtemps que je n'ai pas commis de billets "carte postale". La mort de Johnny y est sans doute pour beaucoup. 

Cette carte postale est un souvenir du Beaujolais. Le village d'Oingt, qui est une merveille. Photos prises mi Novembre. De l'or dans les images et dans les pierres.



J'écris ce billet le lendemain de ce drame de cet accident de bus qui a tué des enfants. Mon billet sera court, car cette nouvelle le coupe les jambes aussi. Je regarde mes bébés. L'un qui mange, l'autre qui joue avec un de mes vieux ipad. C'est choquant.




Billet de photos. Demain on parler






dimanche 10 décembre 2017

Rallumer le feu

24 heures après ces trois heures de direct à la télévision, j'ai l'impression d'émerger un peu. J'assume l'émotion qui est la mienne, et que je sais partagée par des millions de français, par le pays. Je l'assume.

Rallumer le feu, c'était l'envie que j'avais tout à l'heure quand je regardais ma cheminé s'enflammer au rythme d'un Stade de France de Johnny la télévision. Ce soir, pendant l'apéritif, mes enfants voulait voir Johnny sur scène. J'ai mis le Bluray d'un de des derniers grands concerts.

La veille, ils avaient vu papa et maman pleurer à de nombreuses reprises. Ils avaient entendu papa et maman leur intimer l'ordre de se taire quand parlait le président Macron. Qui a été excellent. 


J'ai suivi avec émotion le début de la cérémonie, la descente de ces Champs Elysées noirs de monde. Ce concert des musiciens dans la voix de Johnny. Ces musiciens que j'ai vu aussi tant de fois dans les concerts. Le batteur avait eu l'idée de montrer son cul aux arènes de Nîmes, ce qui avait provoqué l'hilarité de toute l'arène, et de Johnny qui n'y attendait pas.
L'arrivée à l'église de la Madelaine. Lelouch pathétique à filmer les proches attendant le cercueil. Puis Macron, très bon. Et la cérémonie, magnifique.

C'est le discours de Rondeau qui m'a ébranlé le premier. Je ne sais pas pourquoi, plus pourquoi. Mais là j'ai senti l'émotion m’inonder. Il était magnifique ce discours.
Falconette a du partir amener les enfants à un anniversaire d'un copain d'école, pendant que Carole Bouquet et les musiciens faisaient une très émouvante prière universelle.

Et ensuite, seul, j'ai sombré devant Jean Réno, qui m'a vraiment ému. Jean Réno, je le connais d'anecdote de collègues de Falconette qui habitent le même village provençal que lui, et qui n'ont pas vu que ses côtés positifs... Hier, son émotion sincère m'a touché... Comme beaucoup.
Je passe Bruel, qui bien qu'émouvant à ce côté pénible de tout faire tourner autour de lui... J'imagine que les copains du Moscato Show et de la Bermudie moqueront plus tard son "je suis entré de Los Angeles..." qui a caricaturalement commencé son discours.

Et puis y a Line Renaud. J'étais tout seul, la boite de mouchoir en papier a été vidée... 

J'ai pleuré, comme sans doute pleins ont pleuré. J'imagine que mes parents ont pleuré, que des amis que je connais ont pleuré. Que pleins d'inconnus ont pleuré. Je ne me suis jamais imaginé pleurer devant la télé, pour la cérémonie d'un "inconnu", de quelqu'un dont je n'étais pas proche. Mais comme des millions de gens, Johnny n'était pas un inconnu et c'était quelqu'un de proche. 


Après, on pourra se moquer de moi, de nous. On pourra faire comme cette France qui est plus rance et rabougrie qu'insoumise. Je lisais les déclarations de Mélenchon, consternantes et misérables. Chercher la polémique sur cette merveilleuse célébration religieuse chrétienne, sur Macron, mais que c'est minable... C'est à leur image, et à l'image de cette gauche mesquine et petite
La dépouille de Johnny était encore chaude que son disciple Corbière pondait un tweet tout aussi misérable sur le SMIC. Et je passe sur celui de Poutou aujourd'hui, à l'image de cette extrême gauche humainement toute petite.
Il y avait hier une France rassemblée, belle, unie, triste et touchée. Tellement humaine, qui communiait autour d'un cercueil et qui faisait partie de la famille. Et à côté, aux deux bords, Le Pen et Mélenchon, unie dans cette même petitesse, misérables, pathétiques. Pathétiques...

Pendant ce temps, mes enfants chantent "Gabrielle". Je crois que c'est le concert où à la fin Johnny chante "et maintenant" que j'ai mis.
Et maintenant, on va essayer de rallumer le feu. Même si je confesse que je ressens vraiment un vide fort. 


Demain ça ira mieux. 

samedi 9 décembre 2017

Ca ne devrait pas finir...

A la salle de sport ce matin, les télévisions étaient branchées sur les images des foules déjà amassées le long des Champs Elysées ou devant la belle église de la Madeleine. Il faisait un froid de canard dans cette salle, et le tapis de course n'a pas réussi à réchauffer ni mon corps, ni mon coeur. 

Les unes de jeudi étaient magnifique. Je suis allé piquer le Midi Libre à mon syndicat. Je le garderai. La une est magnifique, et tellement belle.
Je suis fan de Johnny Hallyday. Je ne m'en suis jamais caché. J'ai l'impression d'avoir perdu quelqu'un, c'est con de proche mais je sais qu'on est beaucoup à partager ce sentiment.

Je pensais à cette chanson "ça ne finira jamais", qui est magnifique. Elle me fait penser à mon grand-père cette chanson. Quand cet album est sorti en 2008 je crois, mon grand-père se faisait opérer d'un truc assez grave, et j'avais peur pour lui. J'écoutais cette chanson en allant à l'hopital le voir. C'était une prière : ça ne doit pas finir. J'avais 31 ans déjà, j'en avais profité de lui, mais je voulais que ça ne finisse jamais, et qu'on continue à faire la route.

Mon grand-père est mort durant l'été 2010. Il a encore tenu un peu. Cette année fut dramatique pour moi. Le maire de Roquemaure, mon ami, une sorte de grand frère, était mort fin Mars d'une manière inattendu et violente. Mon papy l'a suivi plus tard, après plusieurs alertes cardiaques qui annonçaient l'inéluctable. 

Quand j'entends Johnny hurler "ça ne peut pas finir", je pense à eux. Et aujourd'hui je penserai à lui, car il faisait parti de ma famille Johnny.

Je suis triste, vraiment. 

mercredi 6 décembre 2017

Joyeux anniversaire mon bébé

Malgré la tristesse de ce matin, aujourd'hui est le jour des 4 ans de mon bébé deuxième. Il était né un matin d'une Saint Nicolas.

Mon bébé deuxième de mon nom sera né un jour anniversaire de la mort de Johnny Halliday. Et ce soir, zappant sur les chaines informations et les hommages, je confesse avoir vraiment eu le gros gros coup de mou. 

Mon bébé n°1 était touché quand son papy lui a annoncé la nouvelle ce matin. Ceux qui me connaissent en vrai savent que son prénom, en plus d'être celui d'un ancien grand défenseur gauche de l'OM (et du PSG), était la version masculine d'un des plus grands succès de Johnny. 
Ce soir, il veut qu'on regarde un concert (en Blu-ray ou DVD je dois tous les avoir). Mais je lui ai dit que je n'en avais pas vraiment envie en fait...

Bébé n°2 s'est déguisé en Marcus de la Pat Patrouille. Et c'était chouette. Du bonheur au milieu d'une sincère tristesse, car ce soir avec mes parents et quelques proches, on n'est pas arrivé à avoir ce bonheur qu'on doit avoir pour un anniversaire.
L'année dernière, le même jour, j'avais pris une de mes plus belles baffes professionnelles. Ce soir c'est encore pire. Mais mon bébé deux a 4 ans, et ça reste le plus importante.

Que je t'aime mon bébé, mes bébés

La nuit du 5 au 6 décembre

Il y a quatre ans, le 5 décembre au soir, Nelson Mandela n’était pas encore annoncé décédé lorsque j’ai demandé à mon épouse : « dis tu ne vas pas accoucher cette nuit hein ? ».
Il faisait un froid de dingue, un vent de fou. Le mistral noir, le mistral des fous. Glacial.

Mon épouse, rassurant, m’a répondu : « mais non, je suis à une semaine du terme, je vais tenir maintenant… ». J’étais stressé comme jamais sur cette fin de deuxième grossesse, et je crois avoir pris un cachet pour dormir, pour essayer de me calmer, de supporter le vent, et tout…

Et vers 3 heures du matin, elle me réveilla discrètement pour me dire : « ll faudrait aller à la maternité d’Orange… et vite ».
Ma réponse fusa : « tu m’as menti… ».

Oui elle m’avait menti. Et peu après 7h15, mon grand bébé était grand frère, et moi un papa deuxième fois. C’était il y a 4 ans.

Ce matin, mon épouse m’a réveillé vers 5 heures du matin pour me l’annoncer : « mauvaise nouvelle… ». Le pire c’est que j’avais compris : Johnny était mort.

Je ne vais pas rendre hommage à cet homme que j’aimais vraiment. Des hommages il n’y en aura pleins. 
Des saloperies aussi, je n’irai pas sur les réseaux sociaux aujourd’hui. J’imagine que je lirai des billets de cons moralisateurs (j’en ai bien un ou deux en têtes) qui ironiseront intelligemment sur la mort de cet homme qui fera de la peine à beaucoup de gens. Mettant en parallèle, parce qu’ils sont intelligents, tellement plus que moi et que nous, que des gens meurent de froid ou de vieillesse ou d’autre chose sans hommage des médias.
J’en ai quelques-uns sur mon Feedly, je tomberai sur eux bien assez tôt.

Non, je voulais simplement raconter une histoire personne il y a 4 ans. Une nuit du 5 au 6 décembre. Je me rappellerai aussi de celle-là de nuit.

Pour revenir à Johnny, je pense à mes parents ce matin. Ils ne sont sans doute pas encore au courant et dorment encore. Je suis né avec Johnny. Mon père va être abattu et triste. Mon grand bébé aussi. Il a « sa » chanson de Johnny en plus. Mes bébés me chantent des « allumer le feu » ou des « Gabrielle » comme de fous. Il sera triste, le grand, de savoir que le papa de Gabrielle est mort.

Il fait de la peine beaucoup Johnny ce matin. A moi aussi. Et comme un symbole, mon Winamp me joue sans chanson « un nouveau jour », issue d’un de ces derniers albums.
J’écouterai sans doute « je te promets », qui est la chanson qui me rappelle le plus de (tendres) souvenirs.

Je suis triste. On fête les 4 ans du deuxième bébé ce soir. Mais ça sera pas rigolo. 

Et ce soir, on l'embrassera, à Johnny.

mardi 5 décembre 2017

Immortel et pourtant

Impression d'avoir perdu un grand oncle adorable. Si mon grand père était encore vivant, il aurait eu l'âge de Jean d'Ormesson.

Cela m'amuse de mettre en photo un tweet du distingué Frédéric Pouhier (Fleu Fleu au membre de la Bermudie à ceux qui comprendront) pour rendre hommage à Jean d'Ormesson. Cette phrase était géniale. 

A 6 mois près, le destin aura été conciliant. L'immortalité et l'éternité c'est très long sans doute trop.


L'homme m'était sympathique et sans doute était une personne agréable à rencontrer. Après, le rustre que je suis connaissais pas l'écrivain, juste le personnage. Après le polar (assez moyen) que je suis en train de lire, j'essaierai de lire un de ses ouvrages.


A part ça il fait froid. Et demain mon bébé deuxième aura 4 ans. Il est né le lendemain de la mort de Nelson Mandela, ça m'avait marqué... (la veille du tirage de la coupe du monde 2014 aussi)

lundi 4 décembre 2017

Lune divine d'un soir de mistral

Parfois dur de ne pas voir autre chose d'une simple science pour expliquer la beauté de la nature. Ce soir, la lune était magnifique.


Il fait un froid polaire. Le mistral noir, celui qui souffle sur de la glace, était pénétrant. Mais quelle beauté cette lune sous deux nuages qui paraissent être des anneaux de saturne, des soucoupes volantes. 


Prise avec un appareil photo Sony un peu plus évolué, on voit quelque chose de joli aussi.



Le ciel était froid mais beau. Le rationnel listera tous les phénomènes qui conduisent à ce spectacle féerique. Moi, je le suis rationnel. Mais ce soir j' ai envie de l'être moins que d'habitude. Et montant sur le toit mon grand bébé, j'ai envie de penser à un petit truc divin. La nature est trop belle et l'univers trop beau pour être l'œuvre d'uniquement la science. Il doit bien avoir un grand achitecte qui orchestre tout ca je me dis les soirs où je ne veux pas être rationel...

Ce soir c'est le cas. Il fait froid mais c'est beau.

A part je suis malade. Le froid justement. Le ventre à morflé. On verra demain...

dimanche 3 décembre 2017

Forez sous la neige #auvergne

Jolie photo envoyée par les beaux parents ce matin. Le village de Leignec sous la neige.


Il y a trois semaines je gambadais dans les feuilles mortes et les paysages flamboyants de l'automne. 


vendredi 1 décembre 2017

Mon groupe de Coupe du Monde

 Mon tirage de la Coupe du Monde la semaine dernière était sympa : Russie, Ecosse, Irlande, Japon.


J'écris ce billet devant la cheminé, en dégustant buvant le Kilbeggan. Il est magnifique. Fruité, doré, c'est un régal.

A part ça et plus sérieusement, j'ai regardé avec plaisir le tirage de la coupe du monde en Russie. Le tirage pour l'équipe de France est clement. C'est pas le Pérou quand même... 
j'ai pas l'impression qu'il y ait de groupe terrifiant. Le Portugal Espagne Costa Rica a l'air bien. Celui du Brésil, de mémoire, m'a l'air costaud aussi. Celui de l'Argentine aussi... 

Enfin, j'ai hâte du mois de Juin. Même sans l'Italie (ca me fait drôle)

Et encore a part ça, j'aime bien Blogtouch. Je pense que je l'achèterai et que je passerai sur iOS 11. J'espère que ça sera moins long que la dernière mise à jour de Windows (plus de 2 heures que ça dure...)

mercredi 29 novembre 2017

Cocus des primaires

En écoutant hier soir Thierry Solere, je pensais à une réflexion du philosophe du football Rolland Courbis. Qui posait cette question suivante :

"Je me suis toujours demandé si quand on était cocu, c'était à cause de sa femme, ou à cause du mec qui se tape sa femme"

Je pensais aux cocus des primaires. Nombreux...

La primaire D'Europe - Écologie - les Verts. On n'y pense peu, mais elle a coûté 4€ par adhérent à chaque tour de scrutin. Au total 8€ pour dégager Duflot, et pour nommer un candidat qui est parti très vite à la soupe socialiste, ca fait mal. La carotte est peut être bio, mais dans le cul ce n'est jamais agréable.
8€ cette blague...

La primaire de "la Belle Alliance Citoyenne". Mort de rire déjà ce nom parfaitement à la con. 1€ par tour. Pour faire gagner un candidat qui quittera le PS pour fonder un parti au nom encore plus à la con après une campagne également lamentable. 
Et ne parlons de son malheureux finaliste qui a craqué en appelant à voter pour le bon Macron au milieu de la campagne présidentielle...
2€ pour 6% et deux finalistes qui ont quitté le PS pendant et juste après la présidentielle, c'est bien.

La primaire de la droite et du centre. La mienne.
Ca m'a coûté 2€ par tour, multiplié par deux (car je suis galant j'ai payé pour madame). 8€ pour avoir donc vu sortir de ces primaires une personne qui aura blousé tout le monde pendant ce scrutin. Dommage que Pénélope et les costumes ne soient pas sortis en octobre 2016...
8€ pour avoir participé à une primaire dont le responsable de l'organisation s'est barré en début de semaine chez Macron. 8€ pour participer à un scrutin dont le 4eme est parti en marche à la gammelle d'un ministère après la défaite de Fillon. 8€ pour avoir participé à la destruction de mon camp politique.

Ces primaires ont été un beau moment de cocufiage politique. Magnifique carotte nouvelle introduite dans les anus des militants et sympathisants sincères qui pensaient changer le destin du pays. Avec des dirigeants responsables, fiables, honnêtes. 
Pendant ce temps Macron est parti tout seul, avec ses soutien.ne.s. Les Front Insoumis et National avaient leurs ducés guides charismatiques. 

Et nous donc, à droite, nous voyons les responsables de cette blague dramatique partir soit à la soupe gouvernementale, soit se braquer vers des discours délirants en voulant se ratatiner encore un peu plus sur eux meme. Comme une étoile qui meurt écrasée par sa propre gravité. Si la droite républicaine et le centre finissent comme le PS, a 6% avec tous les électeurs qui se barrent, on aura l'air malin. Et on continuera à avoir une fiscalité effrayante pour les classes moyennes, une société soit disante "progressiste" qui s'abrutira avec des conneries inclusives et négativement stigmatisantes.  

On n'avait pas l'air bête avec notre pièce de 2€ en novembre dernier. Et aujourd'hui nous sommes bien cocus. Solere, le Maire, Fillon... je leur en veux. A eux et pleins d'autres. Des juppeistes, des antijuppeistes coins et primaires. Et c'est penible... si ce n'est grave pour notre pays et ses citoyens.